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SOULAGER UN CANAL LOMBAIRE ÉTROIT
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La ceinture lombaire gonflable AIR LOMBAIRE pour soulager et traiter le canal lombaire étroit
- Contribuer au réalignement vertical de la colonne lombaire (contre l’hyperlordose ou les glissements de vertèbres).
- Exercer une force d’étirement vertical sur la colonne de façon à redonner de l’espace vertical entre deux vertèbres, afin de permettre au disque de ne plus déborder sur les racines nerveuses.
LES MÉCANISMES D'ACTION DE LA CEINTURE AIR LOMBAIRE
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POUR le canal lombaire étroit
CEINTURE AIR LOMBAIRE GONFLABLE
Prise en charge
Témoignages canal lombaire étroit
Soulager le canal lombaire étroit, Bouger Naturellement, Vivre Normalement
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Les causes du canal lombaire étroit
- La vertèbre
- Le disque intervertébral
- Les articulaires postérieures
Cette arthrose des articulaires postérieures engendre une diminution du canal lombaire d’origine dégénérative, ou arthrosique.
Ces trois causes de rétrécissement du canal peuvent se cumuler dans le temps et entraîner des signes cliniques de plus en plus gênants.
Les douleurs de canal lombaire étroit
Bien que variés, les symptômes du canal lombaire étroit sont évocateurs, surtout lorsqu'ils sont associés les uns aux autres. Le rétrécissement du canal rachidien se manifeste d'abord par des épisodes de lombalgies ou de sciatiques, à répétition, lors de marche.
La douleur mécanique à la marche est caractérisée par :
- Une aggravation progressive c'est-à-dire qu'elle devient de plus en plus fréquente, de plus en plus intense, pour des efforts de moins en moins importants ;
- Un arrêt au repos et parfois en position penchée le tronc vers l'avant.
Une localisation au niveau des cuisses et des jambes. Elle peut être uni ou bilatérale (d'un ou des deux côtés) ; plus vous marchez plus elle augmente.
Une faiblesse et une fatigabilité musculaires ainsi que des fourmis dans les jambes doivent alerter.
La claudication neurogène
La douleur ressentie est du type lombalgie du bas du dos, qui irradient parfois dans les membres inférieurs. Elle s’accompagne d’une « claudication neurogène », c’est-à-dire une douleur à la marche qui en limite la durée (arrêt obligatoire après 5 à dix minutes de marche.) Ces douleurs cessent au bout de cinq à dix minutes de repos et réapparaissent après un temps de marche identique. C'est la claudication intermittente. L’impression de marcher sur du coton et des crampes nocturnes insomniantes peuvent compléter ce tableau clinique. Dans les formes sévères de canal rachidien rétréci, la distance maximale parcourue n’est que de quelques mètres, avec impossibilité de pouvoir sortir de son domicile, faire ses courses, avec une exclusion sociale et professionnelle complète.
Dans 10 à 30% des cas moins sévères de canal lombaire étroit, une simple douleur à la marche n’imposant pas l’arrêt remplace la claudication neurogène
La station assise, la position fléchie en avant ou l’accroupissement soulagent rapidement le sujet. Ceci peut être à l’origine d’une démarche penchée en avant.
La radiculalgie
La compression des racines nerveuses du canal lombaire au niveau L4L5 ou L5S1, peut entrainer une douleur à la jambe, la radiculalgie, soit sous forme de cruralgie, soit sous forme de sciatique ou sciatalgie.
A l’effet douloureux de la compression s’ajoute l’effet inflammatoire provoqué par l’irritation de la racine nerveuse dans le cas d’un canal lombaire étroit.
Les paresthésies et les dysesthésies
La douleur de canal lombaire étroit peut s’accompagner de paresthésies (sensation de picotement, d’engourdissement, de décharge électrique ou de fourmillements) ou de dysesthésies (altération de la sensibilité) du membre inférieur. Parfois seules les paresthésies ou les dysesthésies sont présentes, passant le plus souvent inaperçu ou passager. Un avis médical sera nécessaire pour confirmer le diagnostic.
Le déficit moteur et/ou sphinctérien
Parfois vous n’arrivez plus à bouger certaines parties de votre corps et cela peut entrainer une chute (sensation de lâchage du genou, impossibilité de marcher sur la pointe ou le talon du pied, impression d’un pied qui racle le sol à la marche), on parle alors de paralysie partielle ou complète. En cas de paralysie, la pression exercée par les éléments arthrosiques sur le nerf peut entrainer des lésions irréversibles, et la paralysie comme séquelle définitive. Il s’agit donc d’une urgence chirurgicale.
Le syndrome de la queue de cheval
Un canal lombaire étroit peut aussi comprimer les racines nerveuses à destinée du périnée, c’est la zone dite de la queue de cheval. Cette compression peut provoquer des problèmes pour uriner, d’impuissance ou de constipation opiniâtre. On parle alors de syndrome de la queue de cheval, aux lésions irréversibles, et très invalidantes. Il s’agit donc là aussi d’une urgence chirurgicale.
Les autres traitements du canal lombaire étroit
L’évolution naturelle du canal lombaire étroit est une aggravation des douleurs, des paresthésies, de la claudication neurogène jusqu’à l’apparition de déficits moteurs et/ou sensitifs, ou de syndrome de la queue de cheval. Cette évolution peut être sur quelques semaines, quelques mois ou quelques années. Avant tout, on se souviendra qu’il s’agit d’une affection qui peut rester paucisymptomatique ou bien contrôlée par un traitement léger pendant de très nombreuses années pour près de la moitié des patients.
Les médicaments
D’un point de vue médicamenteux, il s’agit en premier lieu de traiter la douleur par analogie à ce qui est proposé dans la lombalgie commune. Lors de symptômes sévères (qui évoluent parfois par crises qu’il faut savoir laisser passer sans recourir à une attitude trop invasive), le recours à des dérivés morphiniques doit être envisagé, en veillant à ce que les effets secondaires ne dépassent pas les bénéfices en termes de qualité de vie.
Concernant la physiothérapie et considérant l’aspect statique et mécanique de la claudication intermittente neurogène, un travail postural axé sur la diminution locale de la lordose lombaire peut être proposé ; il n’y a pas d’indication que cela soit plus efficace qu’une approche plus globale axée sur un travail en endurance.
Les infiltrations
Les infiltrations sans guidage radiologique ont fait la preuve de leur inefficacité. Concernant les infiltrations radioguidées, la mieux évaluée est la voie caudale et il y a quelques preuves en faveur d’un effet à court et long terme. Il s’agit de plus d’une voie d’abord très bien tolérée et ne présentant aucun risque en dehors de celui lié aux médicaments employés.
Faut-il opérer ?
Il n’y a pas urgence à opérer en dehors des cas suivants :
- Déficit moteur (sciatique paralysante),
- Douleur intolérable non soulagée par les morphiniques (sciatique hyperalgique),
- Syndrome de la queue-de-cheval (troubles périnéaux, dysfonctionnements sphinctériens en particulier urinaires)
En dehors des urgences chirurgicales, globalement, il nous semble que la possibilité d’un traitement chirurgical doit être abordée avec tout patient n’ayant pas observé suffisamment de bénéfices après trois à six mois d’un traitement conservateur bien conduit.
Le processus décisionnel doit alors impérativement nécessiter en premier lieu une information substantielle (avantages, inconvénients, taux de réussite, amélioration raisonnablement attendue, …) pour s’ouvrir ensuite sur une discussion libre et se terminer par la détermination d’objectifs raisonnables (shared decision making). C’est dans ces conditions que l’on pourra réduire le taux d’échec et d’insatisfaction postopératoire qui, dans cette population, est en partie liée à des attentes démesurées.
Quel traitement chirurgical lors d’une opération d'un canal lombaire étroit ?
Le but du traitement chirurgical est de redonner rapidement une autonomie au patient (améliorer le périmètre de marche), et de supprimer les douleurs radiculaires.
L’acte chirurgical (Libération médullaire) consiste à « libérer » le canal des éléments qui le sténosent (l’os des lames et des articulaires, la capsule articulaire, le ligament jaune, et une hernie discale si elle est présente). On réalise alors une « laminectomie » (on enlève la lame) avec « arthrectomie partielle » (on enlève une partie du massif articulaire), associée si cela est besoin en une « arthrodèse » rachidienne (on pose du matériel) en cas de rachis déformé ou très mobile, de douleurs des articulaires postérieures.
Le nombre d’étage à libérer dépend du bilan radiologique.
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